L’HISTOIRE D’EDEN PARK, LA MARQUE AU NŒUD-PAP’ ROSE
La fabuleuse histoire d’une vraie griffe parisienne, partie d’une idée incroyable et unique, pour devenir une figure majeure dans le monde de la mode haut de gamme. Une histoire authentique, née sur les terrains du rugby français dans les années 1980, une saga pétillante d’un groupe de rugbymen dont Franck Mesnel et Éric Blanc, à l’esprit créatif et impertinent. Eden Park est une marque premium qui, depuis ses débuts fulgurants au 194 rue de Courcelles dans le 17e arrondissement de Paris, a su imposer son élégance qualitative et décalée, traçant son chemin pour devenir une entreprise toujours familiale, contrôlée par ses fondateurs, internationale et florissante avec 360 points de vente à travers 35 pays.
Eden Park est un nom, qui suggère légitimement comme nous allons le voir, le Rugby à travers la planète. Depuis ses débuts il y a 37 ans, la marque de vêtements et son iconique nœud papillon rose, sont également devenus synonymes d’un certain style. Élégant, chic et toujours confortable ; respectueux des traditions, mais constamment attentif à l’air du temps et aux innovations du monde textile, la silhouette "Eden Park" est la quête permanente d’un raffinement, de l’inspiration à la française et ce soin si méticuleux attaché aux détails. Privilégiant des tissus éco-responsables de haute qualité, la marque réussit une fusion unique du chic parisien contemporain avec sa propre identité authentique, reconnaissable entre toutes, celle de « la marque au noeud papillon rose ».
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POURQUOI LE NŒUD PAPILLON ROSE ?
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Mais d’où vient ce logo qu’est le nœud papillon rose ?
Tout comme le nom même d’Eden Park, cet élément et futur attribut de la marque provient d’événements authentiques, de facéties typiquement parisiennes perpétrées par Franck Mesnel et ses coéquipiers, plus particulièrement lors de deux finales du Championnat de France au Parc des Princes, en 1987 et 1990.
En tant que tels, ce sont des ingrédients essentiels de l’ADN d’Eden Park, car ils incarnent l’esprit de contradiction et l’élégance rebelle qui caractérisent la marque depuis ses débuts.
Historiquement, le nœud papillon a toujours été associé à un refus de se plier aux mœurs conventionnelles, et la liberté d’une certaine élégance non-conformiste.
Apparu en France au 17e siècle, le nœud papillon serait né de la cravate croate rapportée par des soldats français après la Guerre de 30 ans (1618-1648). Les cavaliers croates portaient en effet des foulards de couleurs différentes en fonction de leur rang, habitude que les militaires français ont rapidement adopté à leur guise. D’ailleurs, le mot ‘cravate’ en français n’est autre que la corruption du croate ‘Hvate’.
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Devenu populaire en France, la cravate devient petit à petit un accessoire incontournable de mode masculine, tandis qu’outre-Atlantique c’est l’entrepreneur franco-américain Pierre Lorillard qui fera sensation avec son ‘nœud-pap’ en octobre 1886. Lors d’un bal huppé au club Tuxedo à New York, Lorillard invente un style nouveau de tenue de soirée – le smoking associé à un nœud papillon noir. Ce style novateur, désormais mondialement connu sous le nom de ‘black tie’ dépassera rapidement la mode désuète de la queue de pie associée au nœud papillon blanc comme principale tenue de soirée formelle pour les hommes, une révolution de mode toujours en vigueur aujourd’hui. A tel point que pour les anglophones, encore aujourd’hui le smoking se dit ‘Tuxedo’.
Quant à la France, il faudra attendre 1904 pour que le terme ‘nœud papillon’ entre dans le langage courant. En effet, ce n’est que grâce à l’immense popularité de l’opéra de Puccini ‘Madame Butterfly’ (Madame Papillon) dans lequel le protagoniste principal fit sensation auprès du public en portant cet accessoire, que cette nouvelle forme de cravate prendra en France le nom de ‘nœud papillon’ en référence au titre de l’ouvrage.
Devenu populaire en France, la cravate devient petit à petit un accessoire incontournable de mode masculine, tandis qu’outre-Atlantique c’est l’entrepreneur franco-américain Pierre Lorillard qui fera sensation avec son ‘nœud-pap’ en octobre 1886. Lors d’un bal huppé au club Tuxedo à New York, Lorillard invente un style nouveau de tenue de soirée – le smoking associé à un nœud papillon noir. Ce style novateur, désormais mondialement connu sous le nom de ‘black tie’ dépassera rapidement la mode désuète de la queue de pie associée au nœud papillon blanc comme principale tenue de soirée formelle pour les hommes, une révolution de mode toujours en vigueur aujourd’hui. A tel point que pour les anglophones, encore aujourd’hui le smoking se dit ‘Tuxedo’.
Quant à la France, il faudra attendre 1904 pour que le terme ‘nœud papillon’ entre dans le langage courant. En effet, ce n’est que grâce à l’immense popularité de l’opéra de Puccini ‘Madame Butterfly’ (Madame Papillon) dans lequel le protagoniste principal fit sensation auprès du public en portant cet accessoire, que cette nouvelle forme de cravate prendra en France le nom de ‘nœud papillon’ en référence au titre de l’ouvrage
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Et la couleur rose dans tout ça ? Devenue la couleur emblématique de la marque Eden Park, et le logo reconnaissable aujourd’hui à travers le monde, l’idée du nœud-pap rose est survenue lors d’un dîner des joueurs du Racing quelques jours avant la finale 1987. Dans leur style impertinent et décontracté, Franck Mesnel et ses amis cherchaient quelque chose qui pourrait être le symbole « d’une soirée exceptionnelle, peut-être unique et classieuse. »
« Il fallait quelque chose qui soit élégant, qui soit festif, qui reflète à la fois notre style parisien et notre liberté d’esprit », se souvient Mesnel. « Éric a trouvé l’idée du nœud papillon, mais il manquait encore un truc. La couleur rose était déjà une de nos marques de fabrique, car nous avions pour mascotte de l’équipe, la panthère rose, et nous portionst de ce fait des caleçons de la même couleur » Ainsi, lorsqu’Éric Blanc suggère de combiner les deux, avec l’aide du célèbre illustrateur Roger Blachon, le Nœud Papillon Rose se dessine comme parfait symbole de leur impertinence, leur panache, et leur devise ‘La fantaisie dans la rigueur’.
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Eden park :
l'origine
Situé à Auckland, dans la banlieue de Kingsland, Eden Park Stadium est le stade le plus important de Nouvelle-Zélande et l’un des terrains de rugby les plus célèbres du monde. Officieusement stade national néo-zélandais, Eden Park abrite depuis plus d’un siècle des matches de cricket, de rugby, parfois de rugby à XIII, et fut le théâtre de deux finales de Coupe du monde de Rugby, entre la France et la Nouvelle-Zélande et 1987 (avec Franck Mesnel) et 2011.
Né aux alentours de 1900 sur un terrain marécageux au pied d’un volcan éteint appelé Maungawhau par les Maoris, mais ‘Mont Eden’ par les colons britanniques, Eden Park devient le stade officiel de l’équipe de cricket d’Auckland en 1910. En 1914 l’équipe de Nouvelle-Zélande y reçoit l’Australie pour un premier match international, mais ce n’est qu’en 1921 que l’équipe de rugby néo-zélandaise disputera son premier match historique sur la pelouse d’Eden Park, une défaite (5-9) face à l’Afrique du Sud.
Forteresse inexpugnable, Eden Park est historiquement l’un des endroits au monde où les équipes étrangères ont le plus de mal à s’imposer, et depuis leur défaite contre la France en juillet 1994, les All Blacks n’y ont pas connu le moindre échec. En effet, même si le XV de France y a perdu ses deux finales de Coupe du monde (29-9 et 8-7),
Eden Park est l’endroit où le rugby français a gagné ses lettres de noblesse. En 1968, la magnifique Équipe de France avec Walter Spanghero, Jo Maso et Pierre Villepreux a failli remporter une victoire historique, inscrivant 3 essais contre 2 pour les All Blacks. Le 14 juillet 1979, lors de la visite suivante des Bleus, Jean-Pierre Rives et ses hommes ont rectifié le tir un jour de Fête Nationale, battant les All Blacks chez eux pour la toute première fois, inscrivant 4 essais lumineux à 2, en faisant chavirer les 57 000 spectateurs d’Auckland.
En 1994, quoique blessé et très frustré, Franck Mesnel lui-même, faisait partie du groupe de Philippe Saint-André qui gagna le deuxième test 23-20, remportant la série de tests en Nouvelle-Zélande pour la première fois de l’histoire. Plus récemment, le 23 octobre 2011 les Français révoltés et imprévisibles de Thierry Dusautoir ont failli réussir un nouvel hold-up sur cette pelouse mythique. Lors de la finale de la Coupe du monde, après avoir remporté le match de poule contre les Bleus 37-17 quatre semaines auparavant, All Blacks étaient largement favoris à Auckland, mais dans une finale irrespirable, les Français sous-estimés ont poussé les Néo-Zélandais jusqu’au bout, ne s’inclinant que d’un petit point, 8-7 là chez eux sur leur pelouse d’Eden Park.
Eden park :
l'origine
![](https://ucarecdn.com/3f4da84a-8e95-4718-86a9-964efc8dec40/-/format/auto/-/preview/3000x3000/-/quality/lighter/Image-Eden_Park_Stadium-02.jpg)
Situé à Auckland, dans la banlieue de Kingsland, Eden Park Stadium est le stade le plus important de Nouvelle-Zélande et l’un des terrains de rugby les plus célèbres du monde. Officieusement stade national néo-zélandais, Eden Park abrite depuis plus d’un siècle des matches de cricket, de rugby, parfois de rugby à XIII, et fut le théâtre de deux finales de Coupe du monde de Rugby, entre la France et la Nouvelle-Zélande et 1987 (avec Franck Mesnel) et 2011.
Né aux alentours de 1900 sur un terrain marécageux au pied d’un volcan éteint appelé Maungawhau par les Maoris, mais ‘Mont Eden’ par les colons britanniques, Eden Park devient le stade officiel de l’équipe de cricket d’Auckland en 1910. En 1914 l’équipe de Nouvelle-Zélande y reçoit l’Australie pour un premier match international, mais ce n’est qu’en 1921 que l’équipe de rugby néo-zélandaise disputera son premier match historique sur la pelouse d’Eden Park, une défaite (5-9) face à l’Afrique du Sud.
Forteresse inexpugnable, Eden Park est historiquement l’un des endroits au monde où les équipes étrangères ont le plus de mal à s’imposer, et depuis leur défaite contre la France en juillet 1994, les All Blacks n’y ont pas connu le moindre échec. En effet, même si le XV de France y a perdu ses deux finales de Coupe du monde (29-9 et 8-7), Eden Park est l’endroit où le rugby français a gagné ses lettres de noblesse. En 1968, la magnifique Équipe de France avec Walter Spanghero, Jo Maso et Pierre Villepreux a failli remporter une victoire historique, inscrivant 3 essais contre 2 pour les All Blacks. Le 14 juillet 1979, lors de la visite suivante des Bleus, Jean-Pierre Rives et ses hommes ont rectifié le tir un jour de Fête Nationale, battant les All Blacks chez eux pour la toute première fois, inscrivant 4 essais lumineux à 2, en faisant chavirer les 57 000 spectateurs d’Auckland.
En 1994, quoique blessé et très frustré, Franck Mesnel lui-même, faisait partie du groupe de Philippe Saint-André qui gagna le deuxième test 23-20, remportant la série de tests en Nouvelle-Zélande pour la première fois de l’histoire. Plus récemment, le 23 octobre 2011 les Français révoltés et imprévisibles de Thierry Dusautoir ont failli réussir un nouvel hold-up sur cette pelouse mythique. Lors de la finale de la Coupe du monde, après avoir remporté le match de poule contre les Bleus 37-17 quatre semaines auparavant, All Blacks étaient largement favoris à Auckland, mais dans une finale irrespirable, les Français sous-estimés ont poussé les Néo-Zélandais jusqu’au bout, ne s’inclinant que d’un petit point, 8-7 là chez eux sur leur pelouse d’Eden Park.